Profil des étudiants

Profils d’étudiants – Pleins feux sur la nouvelle génération

Dalhousie PT Class of 2015  Queens PT Class of 2014  McGill PT Class of 2014
Il me semble bien qu’on note souvent dans diverses professions que la jeunesse est la force motrice et source de tous les espoirs. Elle trace le chemin de l’avenir. C’est pourquoi nous avons créé une section dédiée aux étudiants et à leurs profils sur le site Web de la division d’orthopédie. De nos jours, il faut se montrer intelligent, dynamique, intuitif et plein d’énergie pour être accepté dans les programmes universitaires de physiothérapie. La concurrence est féroce. Il est temps de mettre en valeur nos étudiants et de partager leurs expériences et leurs connaissances. Franchement, n’est-il pas intéressant de savoir quels sont les loisirs des étudiants de nos jours, et pourquoi ils ont choisi la profession de physiothérapeute?

Nous avons des étudiants très dynamiques qui continueront à faire progresser la profession au fil de ses évolutions. Nous sommes très chanceux de les compter parmi nous. Les vieux comme moi (je n’aurais jamais pensé que je dirais un jour ça!) peuvent apprendre d’eux et puiser dans leur énergie. Allez les étudiants de physiothérapie! De nombreuses possibilités s’offriront à vous. Faites progresser la profession.
UBC PT Class of 2014  University of Alberta MScPT 2016
Celine Nathoo and Kaela Newman

Profil d’étudiantes – Celine Nathoo et Kaela Newman

Noms : Celine Nathoo et Kaela Newman
École : Université de Toronto
Programme : Maîtrise en physiothérapie, cohorte de 2017
Ville d’origine : Whitby et Elora (Ontario)

Celine et Kaela ont cofondé le comité philanthropique communautaire des étudiants du département de physiothérapie. Chaque mois, ce groupe organise différentes initiatives pour favoriser la valorisation des « dons » des étudiants à la communauté. À la fin de leur première année en physiothérapie, Celine et Kaela ont senti que quelque chose leur manquait. En grandissant, elles avaient toujours été actives dans leurs communautés, et elles étaient très impliquées dans la vie scolaire pendant leur premier cycle. Elles voulaient donner à leurs pairs l’occasion de participer à des événements locaux, d’y faire du bénévolat, et sensibiliser le public aux initiatives et aux organisations locales. C’est ainsi que le comité philanthropique communautaire a vu le jour.

Cette année, il leur a permis d’organiser avec succès plusieurs événements. Ainsi, les étudiants ont eu l’occasion de faire du bénévolat à la campagne « One Walk to Conquer Cancer » de l’hôpital Princess Margaret, et de faire un don de sang lors d’une collecte dans toute l’université. À Noël, les étudiants ont recueilli plus de 1 200 $ pour aider le département de rééducation de l’Hospital for Sick Children à acheter des jouets et de l’équipement qui étaient sur leur liste de souhaits. Elles ont également organisé une séance de yoga et d’entraînement à l’occasion de la Journée internationale de la femme, et ont fait don de fonds à l’Association canadienne pour l’avancement des femmes et du sport.
Outre la cofondation de ce comité, Celine et Kaela participent à d’autres initiatives du milieu universitaire. Céline est représentante en physiothérapie à la section étudiante de l’International Centre for Disability and Rehabilitation, et membre du sous-comité des étudiants de la division de la santé mondiale de l’ACP. Kaela est présidente de l’association des étudiants diplômés en physiothérapie. Elle est également membre du comité de l’avancement et de la mobilisation communautaire, et étudiante-ambassadrice dans le cadre de l’expérience de vie universitaire des étudiants diplômés.
En avril dernier, Celine et Kaela ont reçu le prix du leadership étudiant Gordon Cressy de l’Association des anciens de l’Université de Toronto et de la division de l’avancement universitaire. Ce prix récompense les étudiants qui ont apporté une contribution parascolaire extraordinaire à leur institution, leur faculté ou à l’université dans son ensemble.

Celine et Kaela espèrent qu’après l’obtention de leur diplôme de l’Université de Toronto, elles auront l’occasion de continuer à aider la faculté, leur communauté locale et la collectivité en générale. Intéressées par l’orthopédie, Céline et Kaela veulent entreprendre le cours d’orthopédie de niveau 1 à l’automne.


Profil d’étudiant – Brian Weixi Li

Brian Weixi Li
Nom : Brian Weixi Li
École : Université McGill

Étudiant en physiothérapie à l’Université McGill, Brian se passionne pour la promotion d’un mode de vie actif et la prévention des blessures. Son sport préféré est la course de bateaux-dragons, et il participe aux compétitions nationales et internationales depuis ses débuts dans la discipline en 2009. Toute pratique sportive, avec ses entraînements et ses compétitions, comporte un risque de blessure.
Brian s’entraîne quotidiennement avec ses coéquipiers en gardant toujours à l’esprit l’importance d’un entraînement correct et de la prévention des blessures. Il entraîne actuellement l’équipe Caravela du Marianopolis College, la première équipe de bateaux-dragons de Montréal adaptée aux personnes ayant une déficience visuelle ou non voyantes. Il veut donner aux gens l’envie d’une quête de défis pour progresser, et ce, en gardant une attitude positive envers ses coéquipiers et les concurrents. Son expérience d’athlète et d’entraîneur lui permet de mieux collaborer avec son entourage, de lui donner confiance et de lui permettre d’accroître leur efficacité personnelle.

Les progrès récents en matière de technologie et de recherche permettent d’améliorer la qualité de vie des patients. L’intérêt profond de Brian pour la découverte l’a amené à poursuivre des projets de recherche en psychiatrie et en éducation médicale qui visaient tous deux à améliorer le système de soins de santé. La recherche en santé présente un excellent défi, permet l’apprentissage autodirigé et suscite l’inspiration nécessaire à de nouvelles découvertes. Brian envisage de poursuivre dans la recherche en tant que physiothérapeute, et il continuera à encourager ses pairs sur leur chemin.


Profil d’étudiante – Mélanie Desaulniers-Rioux

Melanie Desaulniers-Rioux
Nom : Mélanie Desaulniers-Rioux
École : Université McGill
Programme : Cohorte de 2014 (automne)
Ville d’origine : Lac-Beauport (Québec)

Bonjour! Je suis une étudiante en physiothérapie à l’université McGill, et j’ai 24 ans. J’obtiendrais mon diplôme à l’automne 2014. Je viens de Lac-Beauport, près de Québec, mais je suis née et j’ai grandi en Allemagne, car père y était joueur de hockey professionnel.

Issue d’une famille très sportive, j’ai fait de la natation, du patinage artistique, du rugby, du rafting et du soccer. C’est le football universitaire qui m’a permis de découvrir la physiothérapie. Je me dirigeais vers une carrière en ingénierie, mais j’ai changé d’avis quand j’ai réalisé que le corps humain était la « machine » la plus intéressante!

Au cours de mes études en physiothérapie, j’ai travaillé et fait du bénévolat lors de différents événements sportifs, en faisant des bandages préventifs et en assurant les premiers soins, ce qui a suscité mon intérêt pour l’orthopédie. J’ai travaillé avec des enfants presque toute ma vie, donc c’est sans surprise que je me montre très intéressée par la rééducation pédiatrique. Enfin, j’ai récemment effectué un stage international de huit semaines dans une communauté rurale au sud de l’Inde, ce qui a confirmé un intérêt déjà très vif pour la santé humanitaire.

De plus, comme je suis représentante étudiante pour l’Association Physio-Montréal, en plus d’être représentante de classe pour ma cohorte, j’ai eu l’occasion d’assister à divers conférences et cours, comme le Congrès national 2013 de l’ACP. Ces expériences m’ont encouragée à poursuivre ma formation continue après l’obtention de mon diplôme, un des éléments que je trouve intéressant dans notre profession. Bref, je suis ravie de rejoindre la profession cette année, car la physiothérapie est devenue une véritable passion pour moi.


Profil d’étudiant – Steve Keefe

Steve Keefe
Nom : Steve Keefe
École : Université de Dalhousie
Programme : Cohorte de 2015
Ville d’origine : Tignish (Île-du-Prince-Édouard)

Né et élevé à Tignish, à l’Île-du-Prince-Édouard, Steve a beaucoup fait de sport en grandissant. Il en a pratiqué de nombreux, mais surtout le hockey et le volleyball de compétition. Son grand amour pour le sport et l’exercice a poussé Steve à déménager à Fredericton, au Nouveau-Brunswick, pour s’inscrire au programme de baccalauréat en sciences de kinésiologie à l’Université du Nouveau-Brunswick. Comme il a un fort intérêt pour les soins et la prévention des blessures, il a dédié de nombreuses heures de bénévolat à la rééducation. Il a notamment offert du temps à un entraînement en circuit pour les patients ayant subi un accident vasculaire cérébral, à une formation sportive à l’Université St Thomas, à l’équipe de hockey de Fredericton High School, et il a été kinésiologue dans une clinique locale de physiothérapie PT Health. Après son baccalauréat en kinésiologie, Steve a travaillé pendant un an et demi comme kinésiologue à PT Health. C’était une expérience incroyable qui a renforcé son désir de poursuivre une carrière en physiothérapie. C’est un vendredi matin de mai 2013 que Steve a appris qu’il avait été accepté dans le programme de maîtrise en physiothérapie de l’Université Dalhousie. L’expérience a été aussi incroyable qu’il l’avait imaginé. Steve prévoit obtenir son diplôme avec la cohorte des 50e diplômés de Dalhousie à l’automne 2015.


Profil d’étudiant – Adam Piccinin

Adam Piccinin
Nom : Adam Piccinin
École : McMaster University
Programme : Cohorte de 2015
Ville d’origine : Hamilton (Ontario)
Expérience : Aide-physiothérapeute, kinésiologue et entraîneur personnel

RAISONS DU CHOIX DE LA PHYSIOTHÉRAPIE :

Je choisis la physiothérapie parce que la discipline représente l’alliance parfaite de ma passion pour la rééducation physique, mon intérêt pour une carrière en soins de santé et mes compétences en tant que professionnel de la santé. Je crois qu’il est important de faire ce qu’on aime dans la vie. Je trouve la complexité du corps humain et la façon dont il se guérit du stress physique absolument passionnantes. En outre, j’ai un sentiment d’accomplir quelque chose lorsque j’aide les gens à surpasser de tels dommages à leur état physique. Avec les connaissances et l’expérience que ma formation en physiothérapie va me donner, j’espère me mettre au service des gens, leur permettre de surmonter les obstacles physiques qu’ils rencontrent et établir un modèle pour éviter de tels obstacles à l’avenir.

COURTE BIOGRAPHIE :

Mon parcours vers une carrière en physiothérapie a connu des hauts et des bas, mais une chose n’a jamais changé : je suis sur une voie qui me passionne. J’ai d’abord été initié à la physiothérapie pendant mes heures de bénévolat au secondaire. À l’époque, je m’intéressais au sport et à l’athlétisme, et voir des athlètes blessés se rétablir et revenir sur le terrain a suscité chez moi un intérêt professionnel (aider les gens et travailler avec des blessures liées aux activités). J’ai poursuivi mes études dans le domaine du mouvement et de la santé en rentrant dans le programme de premier cycle en kinésiologie. J’ai obtenu mon baccalauréat ès sciences en kinésiologie à Western Ontario University en 2011. Pendant mes études, j’ai également recherché d’autres expériences liées à la physiothérapie, et j’ai eu la chance de devenir bénévole. Cette expérience a renforcé mon intérêt pour une future carrière en physiothérapie. Malheureusement, mon passage de la kinésiologie à la physiothérapie ne s’est pas passé aussi bien que je l’espérais. Cependant, après quelques cours supplémentaires et quelques tentatives de demande d’admission, j’ai réussi à obtenir une place dans le programme de physiothérapie de McMaster University. Au cours de cette transition, j’ai également pu travailler et faire du bénévolat dans des milieux liés à la physiothérapie (cliniques d’exercice privé, installations de conditionnement physique communautaires et une clinique de physiothérapie de l’Assurance-santé de l’Ontario). Ces expériences m’ont apporté de nombreuses compétences et aptitudes pour une carrière en physiothérapie et pour réussir dans la vie. Jusque là, mon apprentissage de la physiothérapie et de son exercice a été tout ce que j’avais espéré. Je suis ravi de poursuivre mon cheminement pour devenir physiothérapeute.

SPORTS ET AUTRES ACTIVITÉS :

J’apprécie le golf, la planche à neige et beaucoup d’autres sports pour le plaisir (hockey, football et disque volant suprême).
De nombreuses formes d’exercice et de mise en forme m’intéressent aussi.


Profil d’étudiante – Emma Plater

Emma Plater
Nom : Emma Plater
École : Université Queen’s
Programme : Cohorte de 2015
Ville d’origine : Simcoe (Ontario)

Études de premier cycle : Baccalauréat en sciences de l’activité physique de l’Université de Guelph
L’activité physique a toujours joué un grand rôle dans ma vie. J’ai grandi en pratiquant de nombreux sports, et je suis maintenant coureuse universitaire et triathlonienne d’élite. J’ai choisi la physiothérapie parce que cela me donnera l’occasion de promouvoir le mode de vie sain et actif que j’aime, tout en proposant un traitement physique. Ma mère a été physiothérapeute en rééducation neurologique, donc je n’ai pas découvert la physiothérapie en commençant par l’orthopédie. Toutefois, je me suis familiarisée avec cette branche après quelques blessures subies dans ma pratique sportive. Après ma maîtrise en physiothérapie, j’espère poursuivre un doctorat en sciences de la rééducation, parce que j’aime la recherche et je pense que c’est une partie très importante de l’exercice clinique. Mon objectif est de travailler avec les personnes amputées. Terry Fox est mon idole sportive, et la résilience et la force de cette population (les athlètes paralympiques et non-athlètes) m’étonne.


Profil d’étudiant – Jordan Gillis

Jordan Gillis
Nom : Jordan Gillis
École : Université de Dalhousie
Programme : Cohorte de 2014
Ville d’origine : Moncton (Nouveau-Brunswick)

Je m’appelle Jordan Gillis et je viens de Moncton, au Nouveau-Brunswick. Je suis étudiant en deuxième année en physiothérapie à l’Université Dalhousie (cohorte de 2014). Avant de commencer mes études en physiothérapie, j’ai obtenu un baccalauréat en kinésiologie à l’Université du Nouveau-Brunswick.

J’ai toujours participé à des activités parascolaires, et ce, dès l’école secondaire Harrison Trimble de Moncton, où je faisais partie du conseil des diplômés, ainsi que des équipes de basketball et de volleyball. J’ai continué sur cette lancée à l’Université du Nouveau-Brunswick où j’ai été co-président de l’association étudiante en kinésiologie. J’ai été membre de l’équipe Kin Games, du comité Right To Play (dans l’équipe de direction) et j’ai été analyste pour les webémissions de l’équipe masculine de basketball des Varsity Reds de l’UNB pendant deux saisons. Après avoir assisté au Congrès 2013 à Montréal, j’étais motivé pour m’impliquer davantage auprès de l’ACP, et c’est pourquoi cette année, je suis l’un des représentants de l’Université Dalhousie à l’Assemblée nationale étudiante de l’ACP.
J’ai toujours joué au basketball et au volleyball, et j’ai récemment commencé à jouer au squash. Je participe aussi à des courses d’accélération, un sport qui rassemble ma famille depuis de nombreuses années. Mon passe-temps favori depuis la fin de mes études secondaires est la batterie. Cette année, j’ai commencé à jouer avec le Tupper Big Band de Dalhousie, ce qui a été une expérience formidable.
J’ai décidé que je voulais étudier la physiothérapie au début du secondaire, alors que je passais une grande partie de mon temps sur le terrain et dans la salle de sport. À cette époque, je voulais surtout travailler avec les athlètes. Mais, plus j’ai découvert la profession, plus j’ai réalisé toutes les possibilités qu’elle offrait. Je m’intéresse de plus en plus aux domaines de l’orthopédie et de la neurologie. Les expériences que j’ai eues avec les physiothérapeutes avant de commencer mes études à Dalhousie ont toujours été très positives. Que je sois patient, bénévole ou tout simplement curieux de la profession, j’ai réalisé à quel point les physiothérapeutes aiment leur travail et apprécient sincèrement la possibilité d’aider les gens à atteindre leurs objectifs. Participer au Congrès a été un moment marquant de mon expérience dans la profession, et je suis impatient d’y retourner cette année. C’était génial de voir toutes les possibilités offertes par la physiothérapie au Canada, en commençant par l’Assemblée nationale des étudiants. Je suis impatient à l’idée de commencer ma carrière de physiothérapeute, et je veux continuer à être un chef de file dans ma communauté.


Profil d’étudiant – Robyn Murray

Robyn Murray
Nom : Robyn Murray
École : McMaster University
Programme : Maîtrise en physiothérapie, cohorte de 2015
Ville d’origine : Essex (Ontario)

Robyn croit que c’est l’aboutissement de plusieurs expériences qui ont suscité sa passion pour aider les gens à améliorer leur santé et leur niveau de bien-être. Enfant, elle faisait souvent du bénévolat dans la maison de soins infirmiers de sa grand-mère au Pays de Galles, au Royaume-Uni, où elle offrait des services de repas aux résidents et aimait parler avec eux de leur journée. C’est au cours de ces premières années qu’elle a été sensibilisée pour la première fois à l’importance des physiothérapeutes dans le maintien et l’amélioration de la santé. Son désir de poursuivre une carrière en physiothérapie a été confirmé pendant sa rééducation après un accident de voiture qui a changé sa vie à l’âge adulte.

La première étape de son parcours a commencé par l’achèvement du programme de baccalauréat en sciences de l’activité physique en 2011, à l’Université de Windsor. C’est au cours de son baccalauréat qu’elle s’est intéressée aux recherches sur le mouvement, et a eu la chance d’effectuer deux stages d’été du CRSNG dans le laboratoire de biomécanique, tout en faisant du bénévolat au laboratoire de physiologie de l’exercice. Elle s’est également impliquée dans plusieurs initiatives de bien-être communautaires et universitaires, car elle croit fermement que redonner aux autres est une qualité essentielle des professionnels de la santé. Parmi ces activités, on compte des cours de conditionnement physique gratuits et des ateliers pour les aînés, les jeunes femmes et les nouveaux étudiants étrangers, ainsi que des activités de collecte de fonds pour permettre aux enfants de participer à des camps d’été sportifs. Robyn était à la tête de sa classe quand elle a reçu son diplôme de l’Université de Windsor, elle a bénéficié d’une bourse canadienne d’études supérieures Frederick Banting et Charles Best des IRSC pour poursuivre des recherches dans ses domaines de prédilection.
Elle a constaté pendant son travail d’instructrice de conditionnement physique et d’entraîneuse personnel à l’Université de Windsor que la fidélité dans la pratique de l’activité physique était une préoccupation majeure des professionnels de la santé. Par conséquent, en 2013, elle a obtenu une maîtrise en kinésiologie à l’Université Wilfrid Laurier avant son diplôme de physiothérapie. Plus précisément, elle a mené une intervention communautaire impliquant plus de 200 participants qui visait à augmenter la fidélité de débutants au programme d’exercice physique en usant d’importantes propriétés dynamiques de groupe psychosocial (par exemple, la cohésion) dans les classes. Ce travail a été présenté lors de quatre conférences et s’est également classé troisième au concours Wilfrid Laurier « Three Minute Thesis ». Elle a continué à faire du bénévolat quand elle vivait à Kitchener-Waterloo en participant à des collectes de fonds pour le cancer (Climb for Cancer) et les enfants handicapés (p. ex. « Drop Zone » de Easter Seals), tout en étant entraîneuse bénévole de l’équipe d’escalade de jeunes de Kitchener-Waterloo.

Actuellement, Robyn étudie dans le programme de maîtrise en physiothérapie à McMaster University, et elle devrait obtenir son diplôme en 2015. McMaster University est l’un des chefs de file dans l’enseignement d’un exercice fondé sur les données probantes et axé sur le patient, ce qui est au cœur des convictions personnelles et professionnelles de Robyn. Ses options de carrière restent ouvertes, mais elle continuera probablement à s’impliquer dans la recherche en raison de son intérêt croissant pour l’importance de mesures de résultats valides et fiables. Elle nourrit aussi une passion pour la gestion de la douleur chronique et pelvienne, ainsi que pour la rééducation d’athlètes de sports d’aventure, comme les grimpeurs et les skieurs de fond.

Robyn aime passer son temps en plein air, et elle participe à des compétitions d’escalade depuis 2008. Elle aime aussi le vélo de montagne, le golf et la course sur sentier avec Bonnie, son berger allemand. Robyn est mariée à son ami de longue date et compagnon d’escalade, Scott Murray, qui est l’entraîneur de l’équipe d’escalade jeunesse de KW et siège au conseil d’administration de la Ontario Climbing Federation.


Profil d’étudiant – Jared Maynard

Jared Maynard
Nom : Jared Maynard
ge : 23
École : Université Queen’s
Programme : Maîtrise en physiothérapie, cohorte de 2015
Ville d’origine : Mississauga (Ontario)

On me demande souvent pourquoi j’ai choisi de poursuivre une carrière en physiothérapie et, honnêtement, ma réponse à cette question évolue continuellement. Je suppose que la raison initiale demeure la même : à la fin de mes études secondaires et au début de mes études de premier cycle, je savais que je voulais travailler dans le domaine des soins de santé. Je voulais être en mesure d’enseigner aux gens les compétences et les techniques qui les rendent forts, en meilleure santé et capables de surmonter leurs défis personnels. Je voulais alimenter ma passion pour la vie active et l’exercice, et la transmettre. Je voulais avoir un impact direct sur les vies et être en mesure de voir le résultat de mon travail. Je ne me souviens pas d’un moment précis où j’ai déclaré « je veux devenir physiothérapeute », mais avec le temps, j’ai vu comment cette profession répondait à tous mes critères. Maintenant, je suis constamment étonné de constater à quel point ce domaine est riche et varié, bien plus que ce que je pouvais imaginer il y a encore un an ou deux.

Je suis né à Ottawa et j’ai grandi à Mississauga, en Ontario, et j’ai toujours été attiré par le sport et la science. J’aimais me considérer comme une sorte de « sportif intelligent » à l’école secondaire, où j’excellais dans mes études tout jouant au football pendant trois saisons. En cherchant à concilier l’intelligence et les muscles, j’ai obtenu un baccalauréat spécialisé en kinésiologie à McMaster University en 2008. Vers la fin de la troisième année du programme, j’ai décidé de me consacrer à la physiothérapie, et j’ai commencé à me préparer à présenter des demandes aux programmes de maîtrise en Ontario. La première fois, toutes mes demandes ont été refusées. Je considère désormais cet échec comme l’une des meilleures occasions que j’ai jamais eues. Cela m’a permis d’obtenir un poste de kinésiologue (avant qu’ils ne soient réglementés!) à Physiomed Erin Mills, à Mississauga. J’ai pu mettre en pratique les connaissances et les compétences que j’avais acquises au premier cycle en travaillant avec de vrais clients pour obtenir de vrais résultats. J’ai commencé à comprendre ce que faire une différence dans la vie de quelqu’un signifiait, ce qui a renforcé ma détermination à continuer dans la voie de la physiothérapie. J’ai soumis à nouveau mes demandes au mois de janvier suivant, et je suis désormais en première année du programme de maîtrise en physiothérapie à l’Université Queen’s. J’obtiendrais mon diplôme en 2015.

Tout au long de ce parcours, j’ai pratiqué le kung-fu, le basketball, le tennis, la natation, le ski, le football et l’escalade. Mon principal passe-temps en ce moment est l’haltérophilie, et j’envisage de participer à des compétitions de culturisme et de dynamophilie. Mais, plus que le sport, je chéris l’entraînement, l’amélioration personnelle, le mouvement humain et la biomécanique, ce qui se traduit directement dans mes études et mon exercice de la physiothérapie. Je crois que cela me donne une perspective unique sur les défis rencontrés dans la salle de classe, à la clinique et dans ma vie personnelle. L’apprentissage continu me plaît, peu importe sa forme, et j’ai hâte de voir où me mènera ce merveilleux domaine de la physiothérapie très bientôt!